Casting
Dieter Dorn — Mise en scène
Jürgen Rose — Décors et costumes
Tobias Löffler — Création lumières
Hans-Joachim Rückhäberle — Dramaturgie
Petra Lang — Brünhilde
John Daszak — Siegfried
Tom Fox — Wotan
Tómas Tómasson — Le Voyageur
Michelle Breedt — Waltraute
Edith Haller — Gutrune
John Lundgren — Alberich
Steven Humes — Fafner
Jeremy Milner — Hagen
Johannes Martin Kränzle — Gunther
Andreas Conrad — Mime
Regula Mühlemann — L'oiseau de la fôret
Maria Radner — Erda
Programme
L’opéra intimide souvent ceux qui n’y vont pas. Et Wagner encore plus ! Pourtant, quand une comptable du Grand Théâtre de Genève, vidéaste amateur, décide de plonger avec sa petite caméra dans les coulisses du Ring, la grande œuvre de Wagner devient tout d'un coup accessible, et magique ! Ce reportage propose une approche à la fois décomplexée et spectaculaire d’un monument lyrique. Découvrez la deuxième partie de ce documentaire, consacrée au spectacle !
L’Anneau du Nibelung – quatre opéras, 14 à 15 heures de musique – raconte le déclin des dieux et l’avènement d’une nouvelle engeance, celle des hommes. C’est aussi une parabole sur l’incompatibilité entre pouvoir et amour. La saga wagnérienne a créé l’événement en 2013 au Grand-Théâtre de Genève. Ce documentaire captivant, réalisé en deux parties, invite le grand public à découvrir les secrets de fabrication à travers le regard de Chantal, comptable au Grand Théâtre.
Chantal jonglait avec les chiffres depuis plus de 20 ans lorsqu’elle décide d’empoigner une caméra pour suivre, pendant les heures où elle ne travaille pas, la création du Ring. Ne connaissant rien à l’univers du grand maître de Bayreuth qu’elle croyait long et ennuyeux, elle va alors découvrir « une fascinante montée de l’Everest ». Se posant, comme nous, mille questions, elle interroge avec ses mots simples les nombreux acteurs de cette création: des peintres d’atelier s’activant dans les décors à la grande soprano Petra Lang descendant en peignoir sous la scène et avouant préparer son rôle en regardant les photos de Brad Pitt qui tapissent sa loge… Soudain chez Wagner, tout devient humain, à portée d’émotions, palpitant de suspens.