soprano

Tamara Wilson

© Cassandra Kay

Biographie

De la première à la dernière note, l’Aida de Tamara Wilson fit entendre une voix d’une rare beauté qui ne laissait transparaître aucun effort, chaude et maitrisée dans toute son étendue... Tamara Wilson incarne une héroïne sincère et attachante. Sarah Noble, The Opera Critic, 14 juillet, 2009 – Rôle d’Aida” à l’Opéra de Sydney Tamara Wilson, qui chanta dans « Un bal masqué» de Verdi montra une parfaite maîtrise de la puissance et de l’étendue de sa voix colorature. Son interprétation de l’angoisse débordante de Constance qui vient de se séparer de Belmonte était la meilleure performance de la soirée. Charles Ward, Houston Chronicle, 19 janvier 2008 - Rôle de Constance dans L’enlèvement au sérail. Tamara Wilson entamera la saison 2009-2010 au Washington National Opera où elle incarnera Alice Ford dans Falstaff ; puis elle retrouvera la Canadian Opera Company au printemps 2010 pour le rôle d’Elèctre dans Idomenée dirigé par Harry Bicket. « A bona fide Verdi soprano », Tamara Wilson a tenu le rôle d’Amelia Grimaldi dans Simon Boccanegra à la Canadian Opera Company, celui d’Aïda à l’Opera Australia, celui d’Amelia dans Un bal masqué au Houston Grand Opera ainsi que celui de la Marquise del Poggio dans Un jour de règne avec la Wolf Trap Opera Company. Elle a récemment été la Première Dame dans La Flûte enchantée sous la direction de James Conlon au Los Angeles Opera. Elle a incarné d’autres héroïnes mozartiennes comme Constance dans L’enlèvement au Sérail au Houston Grand Opera et la Comtesse Almaviva dans Les noces de Figaro au Berkshire Opera. On pourra l’entendre en 2009-2010, au Houston Grand Opera, dans The Turn of the Screw où elle sera Miss Jessel, ainsi que dans La Missa Solemnis aux côtés de la Chamber Orchestra of Europe sous la direction de John Nelson. Elle se produira également au Washington National Opera, Canadian Opera Company, Théâtre du Capitole à Toulouse, Teatro Municipal de Santiago au Chili, et au Houston Grand Opera. Parmi les récompenses décernées à Tamara Wison, la George London Award de George London Foundation pour laquelle l’Opera News lui reconnaît « un timbre frappant qui n’a pas son pareil ». Elle reçut une bourse de la Richard Tucker Music Foundation. Elle obtint la première place de la Eleanor McCollum Competition des jeunes chanteurs en 2005, et fut finaliste des Auditions du Metropolitan Opera National Council en 2004.